lundi 22 décembre 2008

Le plus courageux des oignons

Assoyez vous petits enfants farons (Fanfarons) pour l'histoire. Si père Cool (Hyper Cool) souhaite vous la raconter.

Bon le petit Jimmy tu peux t'assoir sur ma collection d'herbe à poux. Oui la petite Matilde il reste de la place entre les deux chiens. Comment ça allergique au chien ? Assois toi-là tout de suite ! Où en étais-je... ah oui ! Moi, père Cool au nom idiot servant seulement à préparer un jeu de mot discutable, vais vous raconter un joli compte de Noël. Youpi di dli dou, un joli compte de Noël avec des fées donistes et des lutins facécieux ! Oui oui facétieux !! Oh mais c'est que je ne peux plus me contenir tellement ça sent la joie de Noyel !!! Allons tous danser sur le sapin !!!!

C'est donc l'histoire de Tuti-Fruti, le petit radis, qui grâce à son courage, réussi à devenir le plus courageux des oignons.


TutiFruti un jour s'garochait dans l'étang plein d'vielle bouette et d'mottes de sloch (nos confrères Français et Belges pourraient éprouver quelques difficultés à comprendre la dernière phrase. Et bien... tant pis pour eux !!! Non mais ! En plus ils sont louches avec leur expressions comme : "Il faut couper la pomme avant d'allumer le chat " et "rien ne sert de se promener nue avec les loups, il faut partir l'aspirateur") tout en hurlant des slogans communistes (ce que font tous les radis: tous les gens intelligent savent ça: vous le saviez pas vrai ...)

Il en était à son troisième saut en hurlant : "Les capitalistes sont des saucisses" quand un effroyable, hideux, papou, terrifiant monstre s'approcha avec la subtilité d'une outarde dans un banc de flétan... Il avait des cheveux rouges comme le sang de ses victimes, des dents blanches et pointues comme les ténèbres (euh c'est blanc les ténèbres ???), un costume de la couleur du feu qui brule et un visage blanc comme la mort. Il éructa:

Je vais te manger, espèce d'oignon !

Mais mais... twit de niouf, je suis un radis !

Tu diras ça à mon estomac... Mouaarrrrrg !

Et l'effroyable monstre mangea le radis et mourut sur le coup car il était allergique au radis. Les gentils oignons, qui étaient persécutés depuis longtemps par ce monstre qui les faisait frire, pleurèrent longtemps celui qu'il considère encore aujourd'hui comme l'un des leurs. Ils l'appelèrent: le plus courageux des oignons. Et leur tristesse de perdre leur héros était-telle que tout ceux les touchants se mettaient à pleurer.

C'est pourquoi éplucher les oignons fait pleurer. Ça me semble évident comme preuve !

FIN CULTE ! (inculte)

samedi 13 décembre 2008

La prophétie de Gastron ! Chapître 4

Mes yeux ne quittaient pas d'une semelle la vieille ombre du vieil inuit ventru (et vieux). Captivé d'avance par la sagesse prochaine de ces dires éloquents, mon cœur se trémoussait d'avance en un somptueux cha cha cha d'émotions contradictoire : peur des fraises, colère contre les nains de jardins, envie de fumer du homard dans du tapis ...

Agaguguk pris une grande respiration, huma l'air à la façon d'une pieuvre, me regarda attentivement dans les yeux, rapprocha son visage du mien, comme s'il eut voulu me chuchoter quelques douces proses de morses, et d'un coup de mis à rugir :

- Ah ma mha mha mha ! Naquit Dadouipapouit Salouit !

- Qu'essayez-vous de me dire espèce d'indien Lakota des neiges ! Je ne comprend rien à vos babillages exaspérants. De plus vous avez l'air ridicule !

C'est alors qu'il me répondit:

- L'homme qui sait fermer les yeux sait aussi ouvrir ses bajoues !

Pendant un instant, je ne compris rien...

Puis, tout s'éclairci ! Le vieil inuit tentait de me dire qu'en me montrant malpoli envers cet homme, qui m'avait abordé, ce Gastron, j'avais été en fait impoli face à nul autre que moi même. Que l'inconscience dominait la transcendance du détail et l'imparfait des éphémères probation de l'esprit... Et que Poum ti Pou Ta signifiait en fait... broche à dentier !!!

Mais... mais... que faire, vieil illuminé ?

En toi il existe deux canards: la haine et la bonté. Et ils s'entrent-déchirent pour le dernier biscuit. Lequel survivra ?

Euh... le plus fort ?

Non, le plus poilu !!! Le poil c'est important !

Est ce que vous voulez dire par là que je dois retrouver Gastron et le forcer à manger des épinards ?

Exactement, et maintenant, tu en sais beaucoup trop ! Tu dois mourrir !!!!

Mais mais... c'est vous qui m'avez donné ces informations !

C'est pas en discutant que tu va t'en tirer. Prépare toi à connaître la prise du hareng !

Et je fuyais... courant pour sauver ma vie, poursuivi par un vieil innuit et son troupeau de flétan sauvage ...


La fameuse prise du hareng...

jeudi 11 décembre 2008

L'origine des dindes de Noël

Venez ici, jeunes voyous, vieux croulant !
Accourez, je vous le dis gaiement;
Entendre l'histoire d'Armand,
Ce fieffé Pélican.

Un jour qu'il marchonnait *
En pestant contre la pluie
Sous un soleil d'été
Gontrand le fermier vit...

Un oiseau mal élevé,
Manger tout ses radis.
Brandissant son épée **
Gontrand, furieux, lui dit:

" Sale oiseau de malheur
Fanfaron volatile
Cesse tes jeux puérils
Et gouttes à ma fureur !!! "

Armand sous ces insultes
Fut pris d'une grande colère
Et d'un geste maintenant culte
Se remua l'derri... euh remua la poussière.

" Très cher agriculteur
Toi qui me parjura
De tes propos rageurs
Qui vivra, vaincra !!! "

Et la bataille suivie
Titanesque épopée
Les frappes de bec luttaient
Contre les coups de fumier

Après six ans de guerre
Les deux protagonistes
Pris d'un vent pacifiste
La lutte, d'un coup, cessèrent

Ils signèrent un traité.
Pour assurer la paix,
Armand le pélican,
Servirait de gouter.

...

Et c'est ainsi que les agriculteurs commencèrent à élever des dindes, qui étaient donc jadis des pélicans. L'histoire ne dit pas comment Gontrand convainquit Armand de prendre place dans une assiette comme condition de paix, ni comment les pélicans devinrent des dindes aux fils des ans. Mais ces explications sont déjà beaucoup plus réaliste que celle fournie par n'importe quelle église créationniste américaine.

* Terme inventer par rêveur: Marchonner veut dire marcher tout en gromellant...
** Notez qu'en fait il brandissait une botte de foin, mais ça ne rimait pas ...

Armand le Pélican et Gontrand le fermier.
En train de lutter farouchement.

mardi 21 octobre 2008

Ce coquin de Rhododendron



Un rhododendron mesquin...
S'amusait à tromper les cailloux
Il se cachait sous les sapins
Et tout d'un coup, hurlait: "BOU !"

Ah quel félon, ce coquin !
Avouez que c'est un voyou...
Il fait peut-être le malin,
Mais la vengeance, c'est doux !

Les cailloux, fatigués de ces taquineries
Décidèrent de se venger de leur ami
Et planifièrent un plan odieux !

Ils lui lancèrent un radis
Qui le transforma en nombril
Et les cailloux furent très heureux

lundi 9 juin 2008

Les naventures de Zou ! (Part 2/2)

Voir le texte plus bas pour le début de l'histoire

Zou, surpris, reconnu devant lui la forme caractéristique d'un poisson. Mais celui-ci flottait dans les airs en remuant sa queue d'un air louche (voir photo ci dessous pour voir un air louche).

- HAHA, surpris de mon apparence démoniaque, n'est ce pas !?

Ricana l'poisson qui d'vait ben être LONG COMME ÇA (Geste des bras pour montrer une longueur. Le lecteur pourra faire un geste des bras pour se mettre dans l'ambiance, même s'il est en train de lire ce blog en plein milieu d'une réunion d'affaire)

- Bien, en fait, tu es affreusement petit, répliqua Zou.

- Peut-être, grrrr... Mais prend ça: Boubloubloublou (onnomatopé de bulle).

C'est alors que sous son ébahissement ébahi, le jeune lutin vit avec une stupeur stupéfaite des bulles euh... bullantes lui "fonçer dans face !"

- Ouille, répliqua t-il, plus surpris que blessé.
- Bien fait pour toi, répliqua le poisson, plus fâché que grossier.
- Mais au juste, pourquoi m'attaque tu affreux poisson minable, répliqua Zou, plus lutin que plésiosaure.
- Je n'en ai aucune idée. Soyons amis, répliqua le poisson, plus jaune que tournevis.
- Comment t'apelle tu sale truc visqueux moche, répliqua Zou, plus (ah pis ça m'tente plus de faire des comparaisons)
- FRENÈÈÈÈÈÈT. Je suis FRENÈÈÈÈT. Ne l'oublis pas verre d'eau !

Et c'est ainsi que Frenèèèèèèt et Zou devinrent amis pour la vie.



Un plésiosaure qui a du plaisir. FRENÈÈÈÈÈT (qui a l'air louche)

dimanche 8 juin 2008

Les naventures de Zou ! (Part 1/2)

Il était une fois, à l'ombre du pays enchanté de Rézain, une petit village en bordure d'un petit lac où on pouvait y trouver des petits poissons rouges qui aimaient bien manger des petits morceaux de (euh... ça mange quoi un poisson rouge, ah oui je sais) BÉTON. Et dans ce petit village en bordure d'un petit lac où (blablabla....poisson rouge ... BÉTON) vivait un petit lutin facétieux nommé Zou. Zou aimait lancer des pamplemousses aux vielles dames et des vielles dames aux pamplemousses. C'était un sacré farceur ce petit Zou. Ah le petit coquinou ! Petit cachotier de Zou ! Quel facétieux ! (Description virile, on l'imagine tout de suite à l'image d'un rambo...)

Un jour, Zou décida de partir à la recherche de la plus grosse citrouille possible, afin de s'y creuser une maison. Et oui, tout le monde sait ça, les lutins creusent leur maisons dans des citrouilles (sauf ceux qui ne sont pas mures lors de la saison des creusage, parce qu'à toute fin pratique elles deviennent toujours hantée). Il prit son caniche en béton et son manuel d'instruction sur les 10 meilleures façons de jeter un manuel d'instruction inutile aux poubelles, et parti à l'aventure. (Avis aux lecteurs, il est conseillé de chanter ici une chanson scout pour se mettre dans l'ambiance, de préférence à haute voix.)

Il fit trois pas, deux caramboles, 6 pirouettes (le lecteur peut également faire des pirouettes pour se mettre dans l'ambiance), et se retrouva soudainement aux frontières du pays inconnu de Maradjouipatouitidlidididadlididou, aussi renommé Didlidou par les vils paresseux qui ne voulait pas l'écrire au complet. Et tout à coup ... POUF ! Un silence à la fois étrange, anormal et inquiétant inquiéta Zou par son étrangeté et son caractère anormal. Ai-je dis qu'il flânait dans l'air quelque ambiance étrange et anormal. (Le lecteur, ici, pourra s'inquiéter pour se mettre dans l'ambiance. Si vous ne savez pas comment être inquiet, pensez qu'on pourrait savoir que vous lisez le blog de rêveur...)

Puis soudain...

- Mais... té koé toué ? fit une voix caverneuse résonnant par delà les montagnes.

- Euh... je suis ZOU... de Rézain... fit Zou, un peu intimidé.

Silence. Puis la voix caverneuse explosa de rire.

- Pouahahaha, tu t'appelle Jus de raisins, quel nom ridicule. Pourquoi pas verre d'eau ?

Zou, furieux qu'on se moque de lui, décida de se fâcher, ce qu'il fit.

- Je suis fâché.

- Ouhouhou, ce que j'ai peur, fit la voix caverneuse.

- Espèce, espèce, de voix naniche (ouananiche*)

- Ah ça, je le prends pas. Espèce de vil lutin à deux cents, je vais te tirer les oreilles.

Et tout à coup, quelque chose apparut devant Zou.



* Ici la photo d'une charmante ouananiche.

Tenir une fiole, c'est cool

Hier soir, je marchais dans la rue en bottant des caniches, lorsqu'une pensée me vint en tête.

" Babou Babou mou mou gabadou hou !!! * "

Ce genre de pensée, je l'ai souvent. C'est comme s'interroger sur les sentiments des crayons à mine ou des épis de blé d'inde. En passant, saviez-vous que la déesse mère des hourrites s'appelle Koubaba. On en apprend des choses sur ce blog n'est ce pas ?

Mais je m'égare, revenons au sujet principal. Avez-vous déjà remarqué que chaque fois qu'une université veut faire une publicité ou avoir l'air "cool", elle prend la photo d'un étudiant qui tient une fiole devant ses yeux avec un air captivé ?

Et bien, une recherche effectuée par le firme "sexy brouette" nous renseigne que dans 60% des camps, le liquide en question est du jus d'eucalyptus ! Je ne sais pas vous, mais je trouves ça un peu exagéré d'essayer de nous faire croire qu'il y a tant de recherche qui se font sur l'eucalyptus. Et en plus, Voici un témoignage

Bonjour, je m'appelle Couineux et j'aime beaucoup faire de la chimie. Lorsque la prestigieuse Université du Miskatonic m'a demandé de faire de la publicité pour eux, j'ignorais dans quoi je m'embarquais. Et bien croyez le ou non, il m'ont laissé deux choix: poser nus dans une palourde ou tenir une fiole bizarre devant mes yeux en ayant l'air intéressé. Un peu timide, j'ai choisi le second choix. Mais si j'avais su que le liquide en question était du jus d'eucalyptus, je me serais enfui en leur lançant mes bas aux visages. Ou j'aurais mangé mes bas, puis je me serais enfui. Comme ça je n'aurais pas eu à aller au restaurant ensuite, ce qui m'a coûté 13 dollars.

Comme membre d'une société, nous devrions exiger de connaître le contenu de toutes ces fioles publicitaires. Il en va de la sécurité de nos enfants !!!

* Pourquoi les cochons d'inde n'ont pas d'elle, en langue papoue.

mardi 20 mai 2008

Face de Fouine

Il étais une fois, dans un royaume de chaises et de petits garçons qui jouent aux yoyos dans la rue avec des fleurs dans les dents et des oignions sur le nez, un petit pingouin nommé Facedefouinne. Facedefouinne aimait beaucoup inventer des poèmes avec les mots en "OU", comme

J'ai deux genoux
Et les choux
N'ont pas de poux
Boooouuuuuu !

Néanmoins, malgré sa popularité grandissante comme chanteur Pop, avec ses récents succès comme "Hou, un hibou !!! " et "Mou comme un caillou", notre jeune ami était triste, car il n'était pas heureux.

[Comme je n'ai pas terminé mon histoire, merci ne pas poster de commentaire tout de suite] <- Consignes qui fut suivie par tous sauf par ... Georges le malicieux, bien entendu !!! Bon je poursuis mon histoire.

Il décida donc de partir à l'aventure pour trouver le bout du monde.

Il se munit d'un caillou, d'une pierre et d'un rocher et commença à marcher. Il rencontra une outarde et lui dit:

- Tiens une outarde. Ça ressemble à Moutarde, outarde.
- Mange de la schnoute ! lui répondit l'outarde.

Et Facedefouinne, offusqué, lui lança son caillou.

Puis il croisa un bonhomme de neige qui fondait au soleil. Il lui dit:

- Tiens, alors on fond ?
- Mange de la schnoute ! lui répondit le bonhomme de neige qui fondait au soleil.

Et Facedefouinne, outré, lui lança sa pierre.

Enfin, il croisa une femme qui chantait faux.

- J'avais cru entendre des chants, mais finalement c'est faux.
- Mange de la schnoute ! lui répondit la femmw.

Et Facedefouinne, un tantinet blessé dans son amour propre, lui lança le rocher.

Puis il retourna chez lui et devint sculpteur de radis.

Morale: On ne trouve pas le bonheur en lançant des cailloux aux gens, mais bien en sculptant des radis.

Bon là j'ai terminé mon histoire, vous pouvez commenter.

dimanche 18 mai 2008

La prophétie de Gastron ! Chapître 3

Les chapitres 1 et 2 se trouvent plus bas.

Le viel inuit grognon était en train de fumer sa pipe en os de phoque obèse, quand je pénétrai dans son igloo. J'avais parcouru des milliers de kilomètres à dos d'outarde pour consulter ce sage très populaire, auteur des romans Nu avec les phoques, L'art de tripoter, et l'ours polaire qui m'aimait. J'avais enfin devant moi Agaguguk, le sage classé "sexy comme une vielle pomme de terre" par Potin-Express Grrrr.

- Ai ! Qanuikiit ? Tuktusiurumavugna ! , lui-dis je, ayant appris l'inuit en lisant l'endos des boites de céréales et par les mots doux que me soufflait mes charmantes amantes inuites...

Il me regarda un instant en se grattant l'arrière train, puis il dit:

- Je vois clair derrière votre jeu. Tout porte à croire que vous avez rencontré un étrange personnage alors que vous preniez votre douche au beau millieu d'un boulevard et maintenant vous êtes inquiet de sa prophétie. De plus, vous n'avez pas de bras.

- Oh ! Alors on joue les malins monsieur l'inuit. Et bien c'est inouit, mais vous avez tout à fait raison !

L'auteur n'est pas responsable des dépressions nerveuses, ruptures amoureuses ou ingestion de tapis périmé né du traumatisme causé par la lecture de sa tentative raté de faire un jeu de mot comique.

Le vieux sage pris un moment pour réfléchir. Puis il se leva. Il commença à faire d'étrange signe de la main, imitant un canard. Puis il se coucha sur le sol et imita quelque chose qui ressemblait à une truite échouée sur la rive, puis enfin il remit une seconde fois debout et batti les bras en l'air en criant : "Ahalalalataratameuhmeuh" . Curieux de savoir quel étrange rituel shamanique il venait de compléter, je lui demandais:

- Vous invoquiez un esprit ?

- Non, je faisais seulement de l'exercice. Pourquoi ?

- Espèce de vieux fou inuit ! Mais allez-vous enfin finir de me faire attendre !

- Non !

- Vous êtes laid !

- Et vous n'avez pas de bras !

Estomaqué de son sens de la répartie, je décidais de réagir avec virilité et maturité et me cachais dans un coin pour pleurer. Simplement un igloo est rond et n'a pas de coin, donc je me cachais sous un tas de fourure.

- Mais arrêtez de pleurnicher sur mes fourures de phoque obèse, jeune hurluberlu idiot (sans bras) et j'accepterai de vous aider avec vos problèmes.

J'explosai de joie à cette nouvelle, et je m'assied sur le sol gelé pour écouter ce que le viellard avait à dire...

Noir !


Hier soir, il faisait noir
Et il pleuvait des poires
Je marchais seul, dans la nuit noire
En mangeant des armoires.

Ouille ce poème, commence vraiment très mal...
Essayons de nous rattraper...

J'arrivais enfin au manoir
Il était noir, si dérisoire
Je n'avais plus aucun espoir
En mangeant des armoires.

Euh... ça s'améliore pas

C'est alors que je vis un urinoir
Je lui dépondis "bonsoir"

Bon... ok, je vais me coucher...

dimanche 11 mai 2008

Blog Wizz

Je dirais bien que Blogswizz est un site merveilleux, mais j'aurais l'air de faire du léchage de botte pour être accepté sur un site me permettant enfin d'avoir plus que deux lecteurs chevronnés qui commentent.

Donc je ne dirais pas que Blogswizz est un site merveilleux (même si je le pense).

Edit: Tiens étrange, j'ai été accepté. Bon et bien il faut fêter ça. Sortez l'accordéon et les jolies femmes ! Lançons des méduses à la tête des colporteurs !

Liste d'expression française

Voici une liste des expressions française (de France) qui me font bien rire.

  • C'est pas en dansant sur les mains que tu deviendra une taupe !

  • Si le grassouillet pleure, lance lui des chaudrons

  • L'homme qui court après les truites n'as pas peur de son ombre

  • Dormir sur des concombres ne te rendra pas plus agile à la pétanque.

  • Le chat qui court après la grenouille est parfois le plus médiocre au lit.


Sont quand même comique les français de France.

vendredi 9 mai 2008

La fantastique histoire de Couineux

Il était une fois, dans un royaume au bord de la mer, un prince consort (et généralement à coup de pied dans l'arrière train) nommé Eric Blais. Toutefois, les femmes de la cour, très éprise de sa verve lorsqu'il s'agissait d'imiter le chant des crocodiles albinos (à ne pas confondre avec celui des hippopotames), lui avait donné le doux sobriquet du Couineux Fanfaron.

Couineux n'était pas très différent des enfants de son âge. Il aimait se rouler dans l'eucalyptus en récitant des incantations papoues (diantre mon correcteur d'orthographe ne reconnait pas le mot papous, si jamais les papous ont vent de cela, ça va chauffer c'est moi qui vous le dit. Parce que tout le monde sait que le lobby papou est puissant. D'ailleurs quand quelqu'un veut huer un pape, il dit: Pape Hou!!!! Ça vous donne une idée de la puissance de lobby papou si on peut même associer cela au huisme d'un pape (tient le mot huisme n'est pas dans le dictionnaire non plus (humm.... il faudrait bien que j'arrête d'ouvrir des parenthèses pour rien... ) ) ) <-- Wow 3 parenthèses fermées d'un coup !!!

Donc j'en était où au juste... ah oui !!! Un beau jour, Couineux maria une autruche.

FIN !

jeudi 8 mai 2008

Le cochon et le caillou.

Il était une fois, dans l'est de la Papouasie Nouvelle Guinée, un chasseur de chimpanzé qui s'appelait Moutou-Moutou. Moutou-Moutou aimait bien explorer les bois, à l'heure où les animaux vont boire, en quête d'aventures.

Un jour, Moutou-Moutou se promenant, ayant terminé de chasser de singe, tomba nez à nez avec un cochon bien grassouillet.

- Mwauis voyons, tu va twe twasser de mon chemin, mon jeune awi. Sinon jwais te bottwer l'arriewe twain d'un bon coup de mes sandales woses !

Le cochon, sans perdre son assurance, lui répondit:

- Veuilles me pardonner, jeune hurluberlu, mais je suis sur une quête qui ne puis attendre. Par mon groin mignon et mon bedon tout rond, je dois passer ! En effet le grand sage de la forêt, j'ai nommé le vieil hibou qui grince, m'a donné une mission. Je dois trouver le caillou du destin.

- Le cwaillou du destin !

- Et bien oui, couina le porc. C'est une pierre très spéciale qui fut créé de l'union d'un dieu et d'un abricot. Les raisons qui poussèrent un dieu à se taper un abricot restent encore aujourd'hui inconnues. C'est une pierre extrêmement puissante qui a le pouvoir de transformer les fougères en planche à pain. Vous comprendrez, noble chasseur, que ce caillou ne doit pas tomber entre mauvaises mains ...

- Mwai si je comprends. Mwais bien sûr ! C'est l'aventure donc j'ai toujours rêvé.

Mais Moutou-Moutou se rappela qu'il avait faim et mangea le cochon.

La morale de cette histoire, c'est que si vous êtes un cochon et que le grand sage de la forêt vous donne la mission de retrouver le caillou du destin, méfiez-vous des chasseurs de chimpanzés.

La phrodisiaque histoire d'Atebasha

Il était une fois, dans un royaume magnifique emplis de poneys roses et de calinours, une roturière appelée Atebasha. Atebasha aimait beaucoup les haricots, et se fiant à l'histoire du prince légendaire Georges, qui n'avait pas seulement inventé une nouvelle sorte de moutarde aux bleuets, mais également transformé un hamster géant en haricot, elle frappait souvent les choses et les gens avec un bâton.

Un jour, Atebasha découvrit une porte secrète en cherchant des raisins. C'était une porte massive, taillée à même le roc d'une falaise, et elle n'avait pas de poignée. S'approchant de cette porte, qui répétons-le était secrète, la jolie fermière y vit d'étranges symboles. Ils étaient gravés d'une façon... louche et entourait avec un air louche un dessin fort louche représentant un ustensile de cuisine: une louche.

Ma foé, mé kécé que cé que s'te porte là, se demanda l'agricultrice.

Comme la porte n'avait pas de poignée, elle cognit simplement, et une étrange voix masculine se fit entendre, une voix aux consonances d'outre tombe !

Entre, si tu l'ose, jeune femme.

Et la porte s'ouvrit de l'intérieur ...

[ À suivre ]

mardi 6 mai 2008

Que tout ceux qui s'apellent Alphonse postent ici !

J'ai décidé de faire la plus grande liste de signature de gens s'appelant Alphonse. Prévenez vos amis, vos oncles et vos cousins. Que tous les Alphonse du monde se lèvent ! Nous allons faire trembler le monde !!!!!!!

La fabuleuse histoire de Georges

Il était une fois, dans un royaume au bord de la mer, un prince appelé Georges. Georges aimait cueillir les pâquerettes et faire des câlins aux écureuils et aux artichauts chinois. Un jour, voici notre héros qui se retrouve face à un hamster géant alors qu'il était parti danser avec les papillons.

- Mais qui es-tu ? demanda le prince, un peu inquiet face à cette inquiétante masse de fourrure.
- JE SUIS UZILLE LE HAMSTER QUI A DU MORDANT !!!, répondit le hamster, en se lançant pour manger notre sympathique héros.

Georges, n'écoutant que son courage, se saisit d'une branche et tapa le hamster de toute ses forces sur le museau. Ce dernier, plein de douleur, se transforma en haricot.

La morale de cette histoire, c'est que si vous êtes un prince et que vous aimez danser dans les papillons, si un jour vous croisez un hamster géant qui vous attaque, frappez le de toutes vos forces avec un bâton et il se transformera en haricot.

lundi 5 mai 2008

Ode au écran tactile !

Il était une fois,
dans une citée perdue
Un empereur dévolu
À manger des morues

Cet empereur si sexy
Noble, comme un brocoli
Rapide comme un radis
Dansait comme un rabbi

Un jour, ce bel éphèbe
Se dit, pourquoi danser
Seul, si je puis quester
La compagnie d'alliés

Et c'est pour ça que le ciel est bleu !
Maintenant, va t'coucher, yé tard !

dimanche 27 avril 2008

La pelle de la marée

J'entendis un matin
Alors que je mangeais des raisins
La pelle de la marée
Qui m'disait : Poil au nez !

Je ne pus me résoudre,
D'un bond, à en découdre
Et j'enfilais culotte
Pantalon, redringote.

Courant vers ces flots libres
Me disant, les "All brown" contiennent beaucoup de fibres
Et tentant, même si j'avais inversé mes souliers et des citrouilles, de garder l'équilibre
Pestant contre la langue française qui ne semblait pas contenir plus de trois mots en "ibre"

Et la pelle de la marée était là
Se tenant figée dans le sable du temps
Et tel un Arthur triomphant
Je questais l'Excaliburien instrument.

Armée ainsi de ma pelle.
J'affrontai le monde
Et j'épousai Cunégonde
Tout en mangeant du sel !

vendredi 11 avril 2008

Bonjour

Bonjour !

Conquérir la cabane à patate

J'en ai assez, fie de cette vie humble et sans conquête. À partir de maintenant, je veux qu'on m'apelle Général, et rien de moins. L'ultime force colossalle de mon gigantesque empire militaire va faire trembler le monde. Citoyen de la Terre, préparez-vous à connaître votre maître.

Et mon premier pas vers cette gloire sans fin qui gravera à jamais mon buste grandiloquant dans les mémoires de l'Histoire, sera la conquête de la prestigieuse "Cabane à Patate de l'Oncle Alfred", qui, avouons le, servira de poste de ravitaillement à mes troupes.

En les bourrants de fast-food, je disposerai rapidement d'une armée d'obèses sans peur, et la terre tremblera sous leur pas, rien n'est plus sur que ça ! Je les armerais de nunchaku en fritte et de canon à liqueur à l'eau.

Oui, tremblez pauvres mortels, l'empire des gros ne fait que commencer !


jeudi 3 avril 2008

Sexy Palourde

Comme vous avez pu le remarquer (Belle ambiance, les oiseaux chante, tout le monde est heureux) , je ne suis pas là ces jours ci.

Je tient à m'excuser aux nombreux fans, et aux groupies endiablées qui n'attendent que de me lire. Il se trouve que je suis présentement en quart de finale pour le concours international de streap-tease dans des palourdes, et que si je gagne j'aurai mon poids en fruit de mer, ce qui n'est pas négligeable !

Dès que j'aurai gagné le concours, je reviens en force.

dimanche 30 mars 2008

Comme un russe !

Calmar à tapis, comme on dit en Russie !

Restaurant chic et poème pour Fanny !

Ce soir, ma famille s'est donné rendez-vous dans un restaurant chic du vieux Québec pour un repas d'anniversaire. Ce restaurant était du genre couteux, le genre où ça peut facilement couter une wii pour quatre personnes. Mais nous étions en famille et nous étions heureux !

Point marquant :

Je me suis fait 7 belles piaces en prenant des contrats comme troubadours du moment. Je composais des odes aux gens pour une piace. Wow qu'est ce que je fais en génie civil. Je vais plutôt devenir barde. ^^

Tous les ballons étant gonflés à l'hélium, mon grand frère et moi avons commencé à les percer pour aspirer l'hélium, ce qui nous a fait parler avec une voix incroyablement aigu et à bien fait rire tout le monde, même les serveurs.

La caille c'est bon, mais une cuisse de caille c'est comme un cure dent avec de la peau de poulet. Je ne crois pas qu'en condition de survie ce serait métaboliquement rentable de chasser la caille.


Mais bon, il y avait une fille ce soir, que nous nommerons ici Fanny pour conserver son anonymat, qui n'a pas eu son poème, donc voici pour Fanny:

Fanny

Le brocoli, c'est bon ;
Oui, je sais, j'ai raison
Je ne vous apprend rien
Donc passons ce refrain

Par contre cette fille
Qui ne bois pas de tisanne tiède à la camomille
Mérite ces quelques mots
Ou je suis un marteau

Fanny, gentille Fanny
Belle soeur, mais bon... c'est la vie ^^
Au plaisir de te r'voir
Et de manger des poires !



Oui je sais, c'était touchant. J'ai d'ailleurs versé une larme à la fin !

vendredi 28 mars 2008

La prophétie de Gastron ! Chapître 2

Le chapitre 1 se trouve plus bas

Je ne pouvais pas trouver le sommeil, accablé par l'imminente peur de cette étrange prophétie. Qui était ce Gastron ? Que signifiait « Poum Ti Pou Ta » ? Qui lui avait donné un nom aussi idiot ? Ces questions me tiraillaient et m’empêchait de bien savonner mon dos sous la douche, chose normalement difficile car j’ai oublié de vous le dire : je suis manchot !

Je décidais de passer aux choses sérieuses. J’allais au magasin « L’huitre sadique » et je vendais à fort prix ma collection d’oreillers en béton. Avec l’argent récupéré de cette judicieuse affaire, j’investissais en répondant aux courriels d’étrangers de côte d’ivoire disant qu’ils nécessitaient mon aide pour une transaction et me promettant un pourcentage. En quelques jours, j’étais devenu millionnaire.

Ensuite, j’investissais 10 beaux dollars pour aller voir une voyante.

- Bonjour, me dit-elle. »

- Salut vielle peau, lui répondis-je. J’aimerais consulter votre sagesse d’arnaqueuse laide.

- Bien sûr, jeune homme. Je suis prête à donner un coup de main, surtout aux gens comme vous qui n’en ont pas.

- Hum… vous avez remarqué que j’étais manchot. Quel sens de l’observation. Je savais que j’étais à la bonne place, lui répondis-je, plein de respect.

- Assoyez-vous sur ce Pouf en cuir de poulet, me dit-elle en prenant un air mystérieux.

- D’accord, lui répondis-je en prenant un air obéissant.

- Alors, que voulez-vous savoir, me dit-elle en prenant un air sérieux

- Que signifie « Poum Ti Pou Ta ? », lui demandai-je en prenant un air intrigué.

C’est alors que je constatais que ce terme n’était pas resté sans répercussion sur la vielle voyante. Ses yeux s’agrandirent sous la surprise et ses mains commencèrent à trembler. Sa respiration augmenta d’intensité

- Foutez le camp d’ici, jeune fou ! Malheureux ! Fuyez ! Non, vous ne me devez rien ! Mais partez et ne vous retournez pas !

Ne comprenant rien à cette réaction un peu vive de cette vielle dame empreinte de sagesse, je quittais tranquillement les yeux pendant qu’elle me frappait de toute ses faibles forces avec un vieux balais usé…


mercredi 26 mars 2008

mardi 25 mars 2008

Quel beau site internet

Mon copain Georges, que tout le monde connait pour ses incroyables talents à imiter les confitures aux bleuets, m'a récemment fait part d'un site internet alliant la grâce et la beauté.

http://www.intrazoneinfo.com/index.html

Mais quelle splendeur, quel incroyable sens du détail, quelle jolies couleurs ...

On voit dès le départ le sérieux de l'entreprise. Sa mission n'est-elle pas de "dé servir" un grand nombre d'entreprise. Je suis fort heureux qu'on nous serve des dés en passant, c'est délicieux, surtout avec de la confiture aux bleuets (à ne pas confondre avec mon pote Georges).

Une petite visite à la case produit nous propose des ordis peu performant à fort prix, ce qui est fort pratique aux adeptes de la simplicité volontaire souhaitant se débarrasser rapidement de leur argent pour un ordinateur, qu'ils pourront ensuite "fouttre aux vidanges" sans remord. Avouons-le, ce site pense à tout !

Dans la catégorie services, l'auteur de cet excellent et délicieux site internet nous propose deux cases bleues très laides et fort pixellisés qu'il a obtenu en transformant son texte en image par un procédé fort complexes nous démontrant toute l'étendue de ces nombreuses compétences en graphisme.

Je vous laisse vous amuser à découvrir toutes les beautés de ce site. Longue vie à ce futur magnat de la communication. Cosette et Québecor n'ont qu'à bien se tenir

mardi 18 mars 2008

Hypra Cool !

Manger des chausette, c'est cool !

Mais il ne faut pas oublier qu'une pomme par jour éloigne le médecin, surtout si l'on vise bien !

dimanche 16 mars 2008

Visites

Mon appartement, et bien je ne renouvelle pas le bail. Il y a trop de vices cachés, comme des marmottes qui font des raves dans le jardin, des vortex vers les 8 plans des enfers dans la douche et le pire de tout: je suis persuadé qu'il fut construit sur un ancien cimetière Papou !

Mon propriétaire, souhaitant trouver d'autres dind... euh gentilhommes pour louer cet appartement merd... euh magnifique, a organisé la plus grande campagne de visite de toute l'histoire de l'amérique du Nord entre 1756 et 2008. De jours en jours, des légions de visiteurs qui, avouons le, visitent, se succèdent pour, dans la joie et le bonheur, nous faire l'immense plaisir de leur présence.

Dès lors, il suffit que je mette le pied dans la douche pour que la porte sonne et que d'honnêtes gens s'intéressent à découvrir mon intimité. J'en perds complétement mon latin, si bien que j'en ai même oublié d'écrire un blog hier, au grand désespoir de ma communauté grandissante de 0.5 fan !

Vous savez, j'ai toujours trouvé les gens qui font les téléréalités, comme Loft Story ou Occupation Double parfaitement ridicule d'exposer leur vie à tout le Québec. Et bien... bienvenue dans l'club, comme on dit ^^

Poum ti pou ta !

vendredi 14 mars 2008

Non mais !

Non mais ça n'a absolument aucun bon sens. Ces gens qui épluchent leur raisins, ils commencent sérieusement à me courrir sur les haricots! Comment ignorer que la plus grande partie des nutriments des favoris de Dionysos sont dans la pelure. Je vous le dit, ça me sidère.

Je propose la création d'une nouvelle loi pénalisant toute personne se trouvant prise en fragrant déli de ce plaisir coupable de l'effeuillage du raisin ! Et toc !

Aussi suite aux trop vives réactions des écologistes endurcis causée par mon post d'hier (qui portait, rapellons-le, sur le suicide chez les sardines), j'ai décidé de le supprimer. Ce n'est pas comme si j'avais oublié ma résolution de faire un blog par jour et que j'inventais une excuse bidon, hein ?

mercredi 12 mars 2008

La prophétie de Gastron ! Chapître 1

Hier soir, je suivais mes cours de survie en baignoire hebdomadaire (qui sont d'une utilité désopilante si jamais un jour il me venait à l'idée de me perdre dans ma baignoire, en plus de me permettre de rencontrer une foule de gens intéressants qui, comme moi, s'intéressent aux baignoires), donc je suivais ces fameux cours "baignoiriens" lorsque j'aperçu, au loin, la silhouette d'un individu s'approcher de la route.

J'ouvre ici une petite parenthèse pour spécifier que ces leçons se donnent au beau milieu d'un boulevard achalandé, à l'heure de pointe, afin d'ajouter un facteur stress nés des coups de klaxon des automobilistes impatientés par ce blocage impromptu de leur voie de transport habituel. Je referme la parenthèse.

Donc je vis arriver la silhouette d'un individu et je me dis: "encore un zouave qui va me dire que moi et mes copains, nous bloquons la rue avec nos baignoires", et c'est avec grand surprise que je le vis s'exclamer lorsqu'il fut à ma hauteur "Hum... modèle de luxe à ce que je vois"

Enthousiasmé de voir que l'homme s'y connaissait en bain, je ne remarquais à peine sa petite taille, le perroquet qu'il portait sur l'épaule, le bandeau sur l'œil et le crochet dans la main. Ce fut donc avec stupéfaction que j'apprenais dans sa bouche qu'il était un pirate informatique !

[Nous tenons à vous aviser que l'auteur n'est pas responsable des maux d'estomac, de tête et d'urètre des auditeurs né de la frustration causé par la tentative d'humour raté du paragraphe précédent]

Tout en me frottant le dos avec une éponge spéciale-survie, je vis que mon visiteur dérangeait le bon déroulement de la classe (comme si les automobilistes furieux qui klaxonnaient sans cesse n'était pas assez...) Je décidais de ne pas couper les cheveux en quatre et d'y aller franchement.

"Je peux vous zaider, m'sieur l'pirate ? Car sans dire que votre compagnie m'horripile, vous m'faite royalement perdre mon temps alors que le professeur parle de la calibration de l'eau chaude et froide, sujet à l'examen"

C'est alors que je compris que j'avais peut-être un peu exagéré mes dires en tentant de me débarrasser de l'infortuné personnage, qui, avouons-le, ne cherchait que les plaisirs de ma conversation. Le visage de ce dernier vira au rouge, et de frustration, il lança un monumental coup de pied dans mon bain en hurlant

"Toi qui me bafoua, jeune homme, je te maudits jusqu`à la troisième génération. Aussi vrai que je m'appelle Gastron, tu aura maintenant à subir ma prophétie!"

Puis, reprenant son souffle, il trépigna un peu, heureux de toute l'horreur qu'une telle menace faisait sur moi, et articula.

" Poum ti pou ta ! "

Puis il fit demi-tour et s'éloigna en clopinant, tout en chantant "La vielle jument marchait dans le grenier, quand elle tomba dans l'fumier"

J'étais si perplexe que j'oubliais de me frotter le dos. Que voulait donc dire cette étrange prophétie ?

mardi 11 mars 2008

Le Club Anime


Lorsque le Soleil n'était pas l'astre unique de la Terre, lorsque les poussins mesuraient plus de six pieds de haut et dominaient la planète avant de tomber dans la corruption et la déchéance et de voir leur civilisation s’effondrer au profil de la race humaine, j'avais, à l'aide de Monsieur B, rassemblé un groupe de gens intéressés à la culture japonaise qui se réunissait hebdomadairement pour déguster quelques productions vidéos nippones.

Ce club dura plus de deux ans, et connu à son apogée plus de visiteurs que mon salon, pourtant fort grand à l'époque, ne pouvait en supporter. Nous passions de fort heureux moments et dissertions avec éloquence de nos séries préférées tout en découvrant de nouveaux trésors.

Mais le temps suit son cours, immuable. Les horaires des gens changèrent. Je tronquai l'anthropologie pour le génie civil, ce qui augmenta considérablement ma charge de travail. Plusieurs membres trouvèrent chaussures à leur pieds et se dissocièrent un peu plus du groupe pour construire quelque chose qui leur était propre.

Il y a quelques jours, alors que la tempête faisait rage sur la ville de Québec, nous bravèrent tous (enfin presque ^^) la furie des éléments pour se retrouver devant une bonne bière et discuter de tout et de rien.

Je n'avais pas vu certains d'entre eux depuis plus d'un an.

Qu'est ce qui changea, qu'est ce qui resta ? Certains sont sur le point de sa construire une maison, d'autres envisagent d'avoir des enfants ou de se marier. Nous avons beaucoup muris, nous sommes devenus plus terre à terre, moins rêveur. Nos discussion sur le Japon et sur nos films et animes préférés se sont mués en débat sur l'augmentation du prix des terrains et sur les bienfaits/méfaits du syndicalisme au Québec.

Une certaine partie de moi s'ennuie du "bon vieux temps" qui ne reviendra plus. Une autre est heureuse car elle comprend que même si ce qui nous rassemblait tous à perdu de l'importance, notre amitié demeure.

Longue vie au Club Anime !

Spam

À l'Université Laval Inc, tous les valeureux étudiants (qui avouons-le, sont très cools) ont une boîte de courriel personnalisé avec leur nom, ce qui est aussi prestigieux que d'être le premier à photographier un Hippopotamus amphibius albinos le premier matin de floraison des cerisiers. Je vous invite d'ailleurs à suivre le lien pour en apprendre davantage sur ce fabuleux animal. 

Si cette petite boite à surprise est protégée de tout spam externe, au grand damne des fournisseurs de petites pilules bleues, de Monsieur Moustaffa qui a besoin de mon aide pour transférer un million de dollars en peaux d'écureuils et de Sonia la chicks qui désire tant me rencontrer et que je dois rappeler sur son numéro payant car elle vient de déménager et n'a pas le téléphone, elle est toute grande ouverte à toute institution de l'Université désirant se faire connaître. C'est tu ti tu pas merveilleux !? 

Résultat, ma boite la plus officielle, sérieuse, -professionnelle quoi !- est également la plus "spammée" de toutes. Quand ce n'est pas Julie Turgeon du Peps qui m'informe que l'équipe de majorette du Rouge et Or recrute, c'est le service des chiens écrasés qui m'informe que Monsieur Anatole Tremblay, concierge des résidences entre 1900 et 1937, est mort mardi dernier. Il y a également notre cher Recteur qui publie son petit courrier hebdomadaire qui n'intéresse personne ou un certain, André Armstrong, responsable du logiciel Banner, nous vante les avantages d'une des cochonneries censé valoir une augmentation de 200 jolies dollars de nos frais de scolarité. Yippi ! Mes vingt premières heures de travail chaque session, je vais les faire en souriant sachant que je les fais pour avoir la météo et mes courriels classés par couleur !

Dans bien des cas, il est possible de désactiver certaines chaines de courriel à laquelle l'étudiant moyen est abonnée par défaut. Il n'en reste pas moins que la profusion de courriel sans intérêt sur une boite qui devrait, à priori, être réservé aux messages d'intérêt scolaire, n'en demeure pas moins une nuisance majeure. À quand les épisodes de Loft Story en ligne sur nos sites de cours, histoire de perdre un peu plus de temps !

Ouverture du blog

Et bien voilà, après plus de deux mois dans l'invisibilité la plus totale, votre fidèle serviteur Rêveur refait surface avec un concept novateur, créatif et dynamique: Un blog mélangeant les opinions les plus sérieuses et critiques sur l'actualité et des histoires absurdes tout droit sorties de son imagination débridée.


Le chat furieux qui s'exprime dans un français impeccable, une mascotte non retenue pour ce blog