jeudi 2 décembre 2010

Ode aux oignons

Comment ne pas se sidérer devant la beauté et la puissance des oignons ?

D'une rondeur parfaite et sensuelle, souple mais ferme, la silhouette de l'oignon éveille un curieux mélange de grivoiserie et de lubricité. Et si de cette pulsion tentatrice n'éveillait pas déjà un supplice de Tantale à en faire damner un saint, l'oignon peut se dévêtir dans un langoureux rituel.

D'un puissance insoutenable, l'oignon contrôle l'âme et le cœur des hommes. De sa volonté seule, les plus riches et les plus puissants de ce monde s'agenouilleront et pleureront en le suppliant de faire preuve de clémence.

D'un goût exquis et olympien, l'oignon domine tout repas, tout rituel où il apparait. Placez un oignon dans un bol de crème fouetté, et les gens ne pourront pas s'empêcher de le remarquer. Placez un oignon dans un verre de lait, et dès lors il perdra son ancienne identité.

Mais l'oignon, c'est le début, c'est la fin, c'est le cercle infini : The Onion Ring !

Moi je l'admets, je m'incline bien bas devant ces êtres ultime que sont les oignons.

3 commentaires:

  1. Merci Adam pour ces message on ne peu plus décalés et absurdes ! J eme permet de te féliciter.. et de t'avertir au passage que le blog "La portée de l'absurde, sur lequel tu avait laissé un commentaire, à été mis à jour ! Live again ! A bientôt et bonne journée,
    Romain

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  2. Adam, merci pour ton message, j'ai mis moi aussi un lien vers ton blog !

    Kloug cendré ! (salutations afghane)

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  3. Fichtre alors!

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