jeudi 24 septembre 2009

L'homme qui avait peur des oignions.

Il était une fois, dans un royaume au bord d'un arbre qui lui même était au bord d'un caillou, un monsieur terrorisé par les oignions. Il s'appelait Jean le Galopin.

FIN !!!


P.S:

Jean le Galopin aimait beaucoup tricoter des pulls (en passant, quel mot affreux: Pull. On dirait un français de France qui tente de parler en anglais. Je l'imagine très bien dire: Putain ! Où j'ai mis mon puuuule. À noter que ça n'a pas vraiment rapport avec pullule). Il les tricotait avec des poils de moutons vivant (Les moutons, pas les poils. Un poil c'est mort. En fait ça peut pas vraiment être mort puisque ça n'a jamais été en vie. C'est comme de dire qu'un cailloux c'est mort). Donc comme les moutons étaient encore vivant, et que Jean le Galopin était paresseux et qu'il mettait parfois le mouton au complet, sans l'épiller préalablement, et bien ces pulls (pouahahahaha, pull!) avaient tendance à bêler ! Ce qui fait qu'on l'appelait surtout:

Jean le galopin, le tricoteur de pull qui bêlent !

FIN !!!

samedi 19 septembre 2009

Bla Ble Blu!

Une envolée de cerfs effervescents surpris Blo le castor rampant qui cueillait des éperlans lors de la chasse annuelle aux orangs-outangs orchestrée par les palourdes épileptiques danceuses de polka. Blo, surpris par les cerfs, prit une mordée dans Géraldine la belette, ce qui causa alors le déclenchement d'une guerre nucléaire mondiale orchestrée par le Percménistan qui voulait dominer le pays des outardes chambranlantes.

La morale de cette histoire : dans la foulée, on a des foules et des zés!

jeudi 17 septembre 2009

Grboui le cochonet

Il était une fois, dans un royaume au bord de la mer, un cochon bien gras qui s'appelait Grboui. Grboui aimait se promener dans les bal masqué en disant qu'il attendait l'autobus, pour ensuite se vautrer dans les crudités, d'où l'expression: Ya un cochon qui se vautre dans les légumes utilisé fréquemment par les joueurs de d&d pour caractériser un joueur qui attaque le DM avec une pioche en camomille.

Enfin... où en étais-je ?

Ah oui, c'est vrai ! Le Cochon.

Donc Grboui rêvait de découvrir le monde.

Le problème, c'était que les essais in-situ non destructif des armatures d'acier du béton l'empêchait de bien dormir, ce qui bien sûr l'empêchait d'être en forme pour le long voyage.

Morale: Le béton nuit au cochon !!!

mercredi 16 septembre 2009

Burkini


Savez-vous de quoi se sont inspirés les créateurs des burkinis?

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Réfléchissez un peu!

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Allons, un peu d'efforts!

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Non, il ne faut pas penser croche! :-)

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Bon, un petit indice :

Monsieur C le converti

Il était une fois un charmant réparateur de grille pain qui s'appelait Fafouin Mopidir II, mais tout le monde l'appelait Monsieur C. Monsieur C adorait danser sur les enfants en mangeant des fraises ou hurler dans les tapis. Un jour, alors qu'il tentait de séduire une pieuvre par quelques pas de danse en ligne nu, C croisa un viel homme.

- Tiens, un vieux schnok ! Alors Monsieur, on passe la date d'expiration bientôt ?
- Petit freluquet ! Comment ose tu dire de telle chose, ce n'est pas gentil !

C fut frappé de stupeur. Le viel homme avait dit vrai. Ce n'était pas gentil ! Tout d'un coup, son monde intérieur fut "capté par une abondante lumière diaphane reflétant le mirisime du moment" ou plus simplement "full cool".

- Monsieur le vieux sage ! Enseignez-moi la sagesse !!!

- J'ai pas le temps, je dois aller écouter la poule aux oeufs d'or !

C fut frappé de stupeur. "Mais bien sûr, la poule représente l'oiseau qui représente le ciel, qui représente le firnament, qui représente l'univers, qui représente l'infini, et l'oeuf représente la naissance qui représence la vie qui représente le parcours qui représente l'apprentissage. Le viel homme tente donc de m'apprendre les secrets de l'univers !

- Monsieur le vieux sage ! J'ai compris votre métaphore. Je suis près à vous suivre.

- Arrrg ! Mais enfin ! Laisse moi tranquille jeune uluberlu !

- Jamais !!!

- Et c'est ainsi que Monsieur C fut arrêté par la police parce qu'il se promenait nu en public !

jeudi 10 septembre 2009

Euh!

Les graines détournent le sol; ça crient mal santé.

(Les graines de tournesol s'écrit mal sans "t")

mercredi 9 septembre 2009

Koans chrétiens

Parfois, le zen et la tradition chrétienne se rejoignent.

C'est ainsi que l'on peut faire des koans chrétiens!

Voici quelques exemples :

Si Dieu est partout, qui habite l'enfer?

Si Dieu est partout et que quand on meurt on se retrouve à sa droite, où allons nous?

Si Dieu a créé le monde en sept jours, sur quelle planète se basait-il pour déterminer la durée des jours?

Si Dieu est compassion, pourquoi a-t-il donné une telle apparence aux limaces! (ben quoi, c'est vrai, n'avez-vous jamais pensé à ces pauvres bêtes qui sont craintes - voir massacrées et exterminées - juste à cause de leur apparence! Les bébés tués en Egypte sont loin d'être à plaindre à côté de ces pauvres petites...)

Si Dieu a fait monté l'eau pour que seul Noé et sa famille survive, d'où viennent les gens qu'il a rencontré par la suite?

Si le pape est infaillible, que se passera-t-il quand un pape déclarera qu'il n'y a pas d'infaillibilité dans la papauté?

S'il faut faire comme Dieu pour être bon et qu'il n'y a personne au-dessus de Dieu, faut-il devenir athée comme lui?

Si Adam est le premier homme, est-ce que ça signifie que nous sommes tous les descendants lointains du rêveur du ciel?

Amen!

vendredi 4 septembre 2009

Babidi ou l'histoire des épouvantails

Voici la courte histoire d'un jeune homme prénommé Babidi (il n'était pas africain, c'est seulement que ses parents étaient un peu fêlés). Babidi était un trapéziste hors du commun car il était manchot. Oui, oui manchot...et non pas comme les oiseaux, mais comme quelqu'un qui n'a qu'un seul bras car il a perdu l'autre dans des circonstances obscures. En effet, Babidi mangeait des radis dans un champs de courges par un soir de pleine lune lorsqu'un épouvantail escrimiste lui coupa un bras (à l'époque un épouvantail était une personne athlétique qui participait à des concours d'habileté). Il s'agisait d'un malencontreux accident car l'épouvantail s'entrainait pour la Fête coloniale. L'épouvantail fut prit d'une telle panique devant la situation qu'il figea sur place. Les gens le laissèrent sur place en espérant qu'il se remette à bouger, mais les mois passèrent et il ne bougeait toujours pas. L'automne arriva et le temps des moissons aussi. Lors de la récolte, les habitants eurent la grande surprise de constater que les ravages des oiseaux avaient été plus faible dans le champs où se trouvait l'épouvantail. Depuis ce temps, les gens fabriquent alors des hommes en pailles qu'ils surnomèrent des épouvantails afin de protéger leurs cultures.

Fin