mardi 24 février 2009

Irbou l'homme grenouille du village

Dans le petit village fermier de St-Thétique, Irbou vivait du métier d'homme grenouille. Toujours présent pour donner un coup de main aux villageois moyennant finance, il était connu comme quelqu'un de rapide et d'efficace.

Dites moi, les petits enfants, ça vous dirait de suivre les aventures d'Irbou !

Oui oui, suivons les aventures d'Irbou !!!

Malheureusement, il n'y a pas grand chose à faire pour un homme grenouille dans un village de deux cents fermiers. C'est un peu comme le marché des conducteurs d'avion pour ours... Nous allons donc plutôt vous comptez les aventures de ... euh... Flétan le poulet gracile.

Oui oui, suivons les aventures de Flétan le poulet gracile !!!

Et bien... il était une fois, dans un village de fermier nommé St-Thétique, un poulet gracile appelé Flétan. Flétan adorait... euh... picorer du grain et euh... faire cot cot. Un jour on le fit cuire avec des oignons.

Morale: Vaut mieux être un homme grenouille au chômage qu'un poulet.

Irbou l'homme grenouille du village, également chauffeur de jet privé pour ours à ses heures...

jeudi 19 février 2009

Zéracile et le chihuahua furieux

Suite de Zéracile le scientifique

Zéracile se promenait au café du palais les deux mains dans les poches en mangeant des asperges. Un an s'était écoulé depuis qu'il avait appris la pénible et sinistre vérité: La science n'était qu'un complot gouvernemental et n'existait pas vraiment. Depuis, il s'était marié avec une autruche, avait fondé une église vénérant les lemmings, joué dans trois épisodes de Virginie et été la cible des médias dans un scandale impliquant sa personne, un cochonnet parlant et un grille pain en papier mâché. Tout n'allait donc pas pour le mieux...

Après avoir dévoué sa vie à la science, puis à l'adoration des rongeurs, il était toujours troublé, incertain et malheureux. Le nez lui piquait et un cailloux s'était logé dans son soulier droit. En désespoir de cause, il se tourna vers: LUI !

- Dieu, puisque la science n'existe pas, et que nos gardiens célestes poilus demeurent sourds à mes prières, tu es la dernière entité en qui je puis me tourner ! Si jamais tu existe, fait moi signe.

À peine avait-il terminé de prononcer ces mots qu'un éclair sourd gronda, tel un grand père furieux qu'on lui vole son dentier, et qu'un bruit de tonnerre foudroya le sol à quelques mètres de Zéraphile.

- Wif Wif Grrrr Wif Wif, prononça une voix aiguë particulièrement peu sensuelle.

Retrouvant la vue, Zéraphile vit à ses pieds la silhouette familière ...

- Un lemming !!! Oh je savais que j'avais raison de vous dédier ma vie !

- Je ne suis pas un lemming, je suis Armabou, le chihuahua du bonheur !


- Un chinchilla !?!

- Non, un chihuahua, jeune tête de linotte. Ta quête de vérité -qui est ailleurs- touche enfin à sa fin, car je vais répondre à toute tes questions.

- C'est vrai !! Je savais que les réponses me viendrait sous la forme d'affreuse bestiole poilue. Alors pourquoi le gouvernement tente-il de nous faire croire à cette fausse doctrine qui s'appelle Science ?

- Ah ça, c'est une réponse que tu devras trouver toi même...

- Alors... pourquoi les lemmings restent-ils sourds à mes prières ?

- Cherche en toi, tu trouvera la vérité...

- Euh... Alors, dites moi simplement si Dieu existe.

- Tu n'es pas encore près à connaitre la réponse...

- Quel est le sens de la vie.

- Tu le sais déjà... mais tu ne le sais pas encore.

- Grrrr.... Alors pourquoi un stupide rat est-il descendu du ciel pour ne rien dire du tout?

Un tantinet furieux de se faire traiter de la sorte, après avoir pris le temps et l'énergie pour bien répondre aux questions du jeune Zéracile, le chihuahua disparu dans un éclair éblouissant.

- Gnabou ! Débrouille toi tout seul, jeune rouspéteur. Mais saches que ta vie est désormais en très grand danger !

Zéracile, heureux et satisfait, se dit qu'il venait de se faire un bon ami.

Il retourna chez lui en sifflotant: "Je suis une outarde qui mange de la moutarde "

samedi 14 février 2009

Zeracile le scientifique et Babouchka

Il était une fois, dans un royaume au bord de la mer, un jeune homme appelé Zeracile. Zeracile ne croyait qu'en la science et ses outils, tels la fesik, chemie, mothimotique, danse numérique et massage scientifique...

Un jour, il rencontra sa bonne amie Babouchka. C'était une flamboyante rouquine russe, plutôt exhibitionniste à ses heures, qui aimait lancer des raisins aux girouettes en criant: "Batracien" et peinturer le gazon en orange avec des crayons de cires.

- Bonjour Zeraphile, lui lança Babouchka
- Ah tiens si ce n'est pas Babouchka. Je remarque que tu es toute nue. Aurais-tu encore confondu ta douche et la fontaine du centre commercial ?
- Ah mais quel sens de l'observation tu as Zeraphile, pour remarquer que je me promène nue en plein cœur de la ville. C'est effectivement ce qui s'est passé.
- Oui, je suis un scientifique. Et on ne trompes pas un scientifique. Mais tiens, prend ma fougère portable, c'est indécent.

Se couvrant pudiquement de la fougère, Babouchka lança la discussion de nouveau.

- Tu sais, Zeracile, tu devrais peut-être ouvrir ton esprit un peu.
- Que veux tu dire, Baboue? Exprime toi en élocution plus cohérente s'il te plait. Je crois que je n'arrive pas à déchiffrer ton fichier de message. Quelle est son extension ?
- Je veux dire... Tu devrais peut-être accepter le fait que la science n'explique pas tout.
- Jamais Jamais JAMAIS ! Diabolique Catin Perverse, comment ose tu dire telles putrides phrases insipides. Disparait de ma vie à jamais ! Je t'abhorre !
- Voyons cher Zeracile, cesse de me lancer des petites taquineries... Tu vois, par exemple, selon la science, je suis un être humain de genre féminin d'une trentaine d'années qui pratique le métier de taratafouineuse...
- Cette élocution est correcte.
- Mais en fait, je suis persuadé que je suis un poulet mexicain masculin plutôt âgée. Et si j'en suis persuadé, c'est que c'est vrai. Et pourtant, la science croit que je suis un être humain, ce qui prouve que la science se trompe...

Pétrifié de stupeur devant le raisonnement sans faille de son amie Babouchka, Zeracile sentit son univers s'effondrer. Depuis tout ce temps, il avait cru que la science était l'unique solution et il découvrait maintenant qu'elle n'était que faussetés. Sans doute un vaste complot gouvernemental ! Qu'allait-il faire ? Un instant son cœur se remplit de questions, de haine, de colère et d'idée de luxure sur des chaises.

Puis il prit une grande respiration. Il savait ce qui lui restait à faire...

En fait, il avait faim. Il mangea donc Babouchka. Ce n'était pas un meurtre puisqu'elle n'était qu'un poulet.

Puis il maria une autruche !

FIN

Zeracile qui ne croit qu'en la science et son amie Babouchka l'exhibitionniste.

mardi 10 février 2009

Yata la mangouste

- Yatttaaaaa. Taratafouine, babine !
S'écria Yata la mangouste, toujours prête à de nouvelles aventures.

Du calme, jeune Yata, lui répondit Otomou l'crapet, son mentor et père spirituel.
Rien ne sert de crier, vaut mieux frétiller !


Otomou avait trouvé, par un beau matin de printemps, la jeune mangouste qui errait seule, à la recherche de son nombril. Touché par la détermination et la stupidité de la jeune suricate, Otomou avait décidé de l'adopter.

Mais papa, c'est aujourd'hui le grand jour. C'est le jour du rituel d'la vielle motte de bouette !

Je sais, je sais, fille, mais garde ton sang froid, comme moi.

C'est facile à dire, les poissons sont des animaux à sang froid !

" L'auteur tient à sincèrement s'excuser pour les gens qui, sous le coup du désespoir face à un jeu de mot si mauvais, évacuerait le trop plein d'horreur en s'accouplant à une table à café, ce qui en résulterait une famille de cuillère à sucre"

Yata ! Concentre toi plutôt sur le texte que je t'ai fait apprendre !!!!!

Oui papa ...

Nous sommes des poissons, qui mangeons du gazon,
Avec nos nageoires brunes, et nos ventre si ronds,
Pour des sex-symbols, sans cesse nous passerons
Prouuui ZoooooR POELLLLLLON !!!!

Chemin faisant, nos deux congénères arrivèrent devant un monument sacré: Le cimetière russe de Kamouftatouf !

Va y ma fille, et n'oublie pas ce que je t'ai enseigné...

Papa... J'ai peur

Je m'en contrefiche ! Avance ou meurs !!!

Gonflé par les encouragements patient de son mentor, Yata avança vers le cimetière, marcha vers un monticule de boue séchée, et d'un fort coup de pied, botta le monticule.

- Ouille, s'écria le monticule
- Je n'ai plus peur... hurla Yata. Tu n'es qu'un affreux amas de boue répugnant !
- D'accord, alors tu passes le test, ajouta le monticule. Maintenant... fous le camps !

Et c'est ainsi que Yata réussi l'épreuve de la vielle motte de bouette, et devint enfin un homme ! (Euh je veux dire une mangouste adulte...)

dimanche 8 février 2009

Pfeeeeuuuuuuuuuuu !

Quand les quenouilles, mangent les crapauds
Le temps est venu, pour les feuilles d'érables, de migrer sous l'eau
Et c'est là que les lapins, fusionnent avec les orignaux
Pfeeeeuuuuuuuuuuu !

Quand les marmottes, dansent sous les étoiles
Le temps est venu, pour les lémures, de tresser leur poils
Et c'est là que les générateurs de poutinpouton portent le voile
Pfeeeeuuuuuuuuuuu !

vendredi 6 février 2009

Le sympathique nain de jardin

Il était une fois,
Dans un pays gracieux,
Plein de joyeux patois,
Criés par des pouilleux,

Un nain fort jardinier,
Qui plantait des palourdes,
Se disant, elles sont lourdes,
Elles pousseront, sans souliers.

Le nain, vous l'devin'rez
Aimait lancer du pain
Sur la tête des marsouins
En criant: "Oranger"

C'est ainsi qu'un beau jour
Un vieux palmiers grognon
Il lança dans un four
Avec des potirons !

Et c'est pourquoi, lorsque l'on voit des crayons de cires, on ne peut s'empêcher de coucher avec la jolie collège du bureau !

(Pour tout les hommes mariés ayant utilisé ce blog pour s'expliquer à leur femme et ayant ainsi évité un divorce, les frais d'utilisation de ce site sont de 500 000 000 $)

lundi 2 février 2009