mardi 20 mai 2008

Face de Fouine

Il étais une fois, dans un royaume de chaises et de petits garçons qui jouent aux yoyos dans la rue avec des fleurs dans les dents et des oignions sur le nez, un petit pingouin nommé Facedefouinne. Facedefouinne aimait beaucoup inventer des poèmes avec les mots en "OU", comme

J'ai deux genoux
Et les choux
N'ont pas de poux
Boooouuuuuu !

Néanmoins, malgré sa popularité grandissante comme chanteur Pop, avec ses récents succès comme "Hou, un hibou !!! " et "Mou comme un caillou", notre jeune ami était triste, car il n'était pas heureux.

[Comme je n'ai pas terminé mon histoire, merci ne pas poster de commentaire tout de suite] <- Consignes qui fut suivie par tous sauf par ... Georges le malicieux, bien entendu !!! Bon je poursuis mon histoire.

Il décida donc de partir à l'aventure pour trouver le bout du monde.

Il se munit d'un caillou, d'une pierre et d'un rocher et commença à marcher. Il rencontra une outarde et lui dit:

- Tiens une outarde. Ça ressemble à Moutarde, outarde.
- Mange de la schnoute ! lui répondit l'outarde.

Et Facedefouinne, offusqué, lui lança son caillou.

Puis il croisa un bonhomme de neige qui fondait au soleil. Il lui dit:

- Tiens, alors on fond ?
- Mange de la schnoute ! lui répondit le bonhomme de neige qui fondait au soleil.

Et Facedefouinne, outré, lui lança sa pierre.

Enfin, il croisa une femme qui chantait faux.

- J'avais cru entendre des chants, mais finalement c'est faux.
- Mange de la schnoute ! lui répondit la femmw.

Et Facedefouinne, un tantinet blessé dans son amour propre, lui lança le rocher.

Puis il retourna chez lui et devint sculpteur de radis.

Morale: On ne trouve pas le bonheur en lançant des cailloux aux gens, mais bien en sculptant des radis.

Bon là j'ai terminé mon histoire, vous pouvez commenter.

dimanche 18 mai 2008

La prophétie de Gastron ! Chapître 3

Les chapitres 1 et 2 se trouvent plus bas.

Le viel inuit grognon était en train de fumer sa pipe en os de phoque obèse, quand je pénétrai dans son igloo. J'avais parcouru des milliers de kilomètres à dos d'outarde pour consulter ce sage très populaire, auteur des romans Nu avec les phoques, L'art de tripoter, et l'ours polaire qui m'aimait. J'avais enfin devant moi Agaguguk, le sage classé "sexy comme une vielle pomme de terre" par Potin-Express Grrrr.

- Ai ! Qanuikiit ? Tuktusiurumavugna ! , lui-dis je, ayant appris l'inuit en lisant l'endos des boites de céréales et par les mots doux que me soufflait mes charmantes amantes inuites...

Il me regarda un instant en se grattant l'arrière train, puis il dit:

- Je vois clair derrière votre jeu. Tout porte à croire que vous avez rencontré un étrange personnage alors que vous preniez votre douche au beau millieu d'un boulevard et maintenant vous êtes inquiet de sa prophétie. De plus, vous n'avez pas de bras.

- Oh ! Alors on joue les malins monsieur l'inuit. Et bien c'est inouit, mais vous avez tout à fait raison !

L'auteur n'est pas responsable des dépressions nerveuses, ruptures amoureuses ou ingestion de tapis périmé né du traumatisme causé par la lecture de sa tentative raté de faire un jeu de mot comique.

Le vieux sage pris un moment pour réfléchir. Puis il se leva. Il commença à faire d'étrange signe de la main, imitant un canard. Puis il se coucha sur le sol et imita quelque chose qui ressemblait à une truite échouée sur la rive, puis enfin il remit une seconde fois debout et batti les bras en l'air en criant : "Ahalalalataratameuhmeuh" . Curieux de savoir quel étrange rituel shamanique il venait de compléter, je lui demandais:

- Vous invoquiez un esprit ?

- Non, je faisais seulement de l'exercice. Pourquoi ?

- Espèce de vieux fou inuit ! Mais allez-vous enfin finir de me faire attendre !

- Non !

- Vous êtes laid !

- Et vous n'avez pas de bras !

Estomaqué de son sens de la répartie, je décidais de réagir avec virilité et maturité et me cachais dans un coin pour pleurer. Simplement un igloo est rond et n'a pas de coin, donc je me cachais sous un tas de fourure.

- Mais arrêtez de pleurnicher sur mes fourures de phoque obèse, jeune hurluberlu idiot (sans bras) et j'accepterai de vous aider avec vos problèmes.

J'explosai de joie à cette nouvelle, et je m'assied sur le sol gelé pour écouter ce que le viellard avait à dire...

Noir !


Hier soir, il faisait noir
Et il pleuvait des poires
Je marchais seul, dans la nuit noire
En mangeant des armoires.

Ouille ce poème, commence vraiment très mal...
Essayons de nous rattraper...

J'arrivais enfin au manoir
Il était noir, si dérisoire
Je n'avais plus aucun espoir
En mangeant des armoires.

Euh... ça s'améliore pas

C'est alors que je vis un urinoir
Je lui dépondis "bonsoir"

Bon... ok, je vais me coucher...

dimanche 11 mai 2008

Blog Wizz

Je dirais bien que Blogswizz est un site merveilleux, mais j'aurais l'air de faire du léchage de botte pour être accepté sur un site me permettant enfin d'avoir plus que deux lecteurs chevronnés qui commentent.

Donc je ne dirais pas que Blogswizz est un site merveilleux (même si je le pense).

Edit: Tiens étrange, j'ai été accepté. Bon et bien il faut fêter ça. Sortez l'accordéon et les jolies femmes ! Lançons des méduses à la tête des colporteurs !

Liste d'expression française

Voici une liste des expressions française (de France) qui me font bien rire.

  • C'est pas en dansant sur les mains que tu deviendra une taupe !

  • Si le grassouillet pleure, lance lui des chaudrons

  • L'homme qui court après les truites n'as pas peur de son ombre

  • Dormir sur des concombres ne te rendra pas plus agile à la pétanque.

  • Le chat qui court après la grenouille est parfois le plus médiocre au lit.


Sont quand même comique les français de France.

vendredi 9 mai 2008

La fantastique histoire de Couineux

Il était une fois, dans un royaume au bord de la mer, un prince consort (et généralement à coup de pied dans l'arrière train) nommé Eric Blais. Toutefois, les femmes de la cour, très éprise de sa verve lorsqu'il s'agissait d'imiter le chant des crocodiles albinos (à ne pas confondre avec celui des hippopotames), lui avait donné le doux sobriquet du Couineux Fanfaron.

Couineux n'était pas très différent des enfants de son âge. Il aimait se rouler dans l'eucalyptus en récitant des incantations papoues (diantre mon correcteur d'orthographe ne reconnait pas le mot papous, si jamais les papous ont vent de cela, ça va chauffer c'est moi qui vous le dit. Parce que tout le monde sait que le lobby papou est puissant. D'ailleurs quand quelqu'un veut huer un pape, il dit: Pape Hou!!!! Ça vous donne une idée de la puissance de lobby papou si on peut même associer cela au huisme d'un pape (tient le mot huisme n'est pas dans le dictionnaire non plus (humm.... il faudrait bien que j'arrête d'ouvrir des parenthèses pour rien... ) ) ) <-- Wow 3 parenthèses fermées d'un coup !!!

Donc j'en était où au juste... ah oui !!! Un beau jour, Couineux maria une autruche.

FIN !

jeudi 8 mai 2008

Le cochon et le caillou.

Il était une fois, dans l'est de la Papouasie Nouvelle Guinée, un chasseur de chimpanzé qui s'appelait Moutou-Moutou. Moutou-Moutou aimait bien explorer les bois, à l'heure où les animaux vont boire, en quête d'aventures.

Un jour, Moutou-Moutou se promenant, ayant terminé de chasser de singe, tomba nez à nez avec un cochon bien grassouillet.

- Mwauis voyons, tu va twe twasser de mon chemin, mon jeune awi. Sinon jwais te bottwer l'arriewe twain d'un bon coup de mes sandales woses !

Le cochon, sans perdre son assurance, lui répondit:

- Veuilles me pardonner, jeune hurluberlu, mais je suis sur une quête qui ne puis attendre. Par mon groin mignon et mon bedon tout rond, je dois passer ! En effet le grand sage de la forêt, j'ai nommé le vieil hibou qui grince, m'a donné une mission. Je dois trouver le caillou du destin.

- Le cwaillou du destin !

- Et bien oui, couina le porc. C'est une pierre très spéciale qui fut créé de l'union d'un dieu et d'un abricot. Les raisons qui poussèrent un dieu à se taper un abricot restent encore aujourd'hui inconnues. C'est une pierre extrêmement puissante qui a le pouvoir de transformer les fougères en planche à pain. Vous comprendrez, noble chasseur, que ce caillou ne doit pas tomber entre mauvaises mains ...

- Mwai si je comprends. Mwais bien sûr ! C'est l'aventure donc j'ai toujours rêvé.

Mais Moutou-Moutou se rappela qu'il avait faim et mangea le cochon.

La morale de cette histoire, c'est que si vous êtes un cochon et que le grand sage de la forêt vous donne la mission de retrouver le caillou du destin, méfiez-vous des chasseurs de chimpanzés.

La phrodisiaque histoire d'Atebasha

Il était une fois, dans un royaume magnifique emplis de poneys roses et de calinours, une roturière appelée Atebasha. Atebasha aimait beaucoup les haricots, et se fiant à l'histoire du prince légendaire Georges, qui n'avait pas seulement inventé une nouvelle sorte de moutarde aux bleuets, mais également transformé un hamster géant en haricot, elle frappait souvent les choses et les gens avec un bâton.

Un jour, Atebasha découvrit une porte secrète en cherchant des raisins. C'était une porte massive, taillée à même le roc d'une falaise, et elle n'avait pas de poignée. S'approchant de cette porte, qui répétons-le était secrète, la jolie fermière y vit d'étranges symboles. Ils étaient gravés d'une façon... louche et entourait avec un air louche un dessin fort louche représentant un ustensile de cuisine: une louche.

Ma foé, mé kécé que cé que s'te porte là, se demanda l'agricultrice.

Comme la porte n'avait pas de poignée, elle cognit simplement, et une étrange voix masculine se fit entendre, une voix aux consonances d'outre tombe !

Entre, si tu l'ose, jeune femme.

Et la porte s'ouvrit de l'intérieur ...

[ À suivre ]

mardi 6 mai 2008

Que tout ceux qui s'apellent Alphonse postent ici !

J'ai décidé de faire la plus grande liste de signature de gens s'appelant Alphonse. Prévenez vos amis, vos oncles et vos cousins. Que tous les Alphonse du monde se lèvent ! Nous allons faire trembler le monde !!!!!!!

La fabuleuse histoire de Georges

Il était une fois, dans un royaume au bord de la mer, un prince appelé Georges. Georges aimait cueillir les pâquerettes et faire des câlins aux écureuils et aux artichauts chinois. Un jour, voici notre héros qui se retrouve face à un hamster géant alors qu'il était parti danser avec les papillons.

- Mais qui es-tu ? demanda le prince, un peu inquiet face à cette inquiétante masse de fourrure.
- JE SUIS UZILLE LE HAMSTER QUI A DU MORDANT !!!, répondit le hamster, en se lançant pour manger notre sympathique héros.

Georges, n'écoutant que son courage, se saisit d'une branche et tapa le hamster de toute ses forces sur le museau. Ce dernier, plein de douleur, se transforma en haricot.

La morale de cette histoire, c'est que si vous êtes un prince et que vous aimez danser dans les papillons, si un jour vous croisez un hamster géant qui vous attaque, frappez le de toutes vos forces avec un bâton et il se transformera en haricot.

lundi 5 mai 2008

Ode au écran tactile !

Il était une fois,
dans une citée perdue
Un empereur dévolu
À manger des morues

Cet empereur si sexy
Noble, comme un brocoli
Rapide comme un radis
Dansait comme un rabbi

Un jour, ce bel éphèbe
Se dit, pourquoi danser
Seul, si je puis quester
La compagnie d'alliés

Et c'est pour ça que le ciel est bleu !
Maintenant, va t'coucher, yé tard !