lundi 9 juin 2008

Les naventures de Zou ! (Part 2/2)

Voir le texte plus bas pour le début de l'histoire

Zou, surpris, reconnu devant lui la forme caractéristique d'un poisson. Mais celui-ci flottait dans les airs en remuant sa queue d'un air louche (voir photo ci dessous pour voir un air louche).

- HAHA, surpris de mon apparence démoniaque, n'est ce pas !?

Ricana l'poisson qui d'vait ben être LONG COMME ÇA (Geste des bras pour montrer une longueur. Le lecteur pourra faire un geste des bras pour se mettre dans l'ambiance, même s'il est en train de lire ce blog en plein milieu d'une réunion d'affaire)

- Bien, en fait, tu es affreusement petit, répliqua Zou.

- Peut-être, grrrr... Mais prend ça: Boubloubloublou (onnomatopé de bulle).

C'est alors que sous son ébahissement ébahi, le jeune lutin vit avec une stupeur stupéfaite des bulles euh... bullantes lui "fonçer dans face !"

- Ouille, répliqua t-il, plus surpris que blessé.
- Bien fait pour toi, répliqua le poisson, plus fâché que grossier.
- Mais au juste, pourquoi m'attaque tu affreux poisson minable, répliqua Zou, plus lutin que plésiosaure.
- Je n'en ai aucune idée. Soyons amis, répliqua le poisson, plus jaune que tournevis.
- Comment t'apelle tu sale truc visqueux moche, répliqua Zou, plus (ah pis ça m'tente plus de faire des comparaisons)
- FRENÈÈÈÈÈÈT. Je suis FRENÈÈÈÈT. Ne l'oublis pas verre d'eau !

Et c'est ainsi que Frenèèèèèèt et Zou devinrent amis pour la vie.



Un plésiosaure qui a du plaisir. FRENÈÈÈÈÈT (qui a l'air louche)

dimanche 8 juin 2008

Les naventures de Zou ! (Part 1/2)

Il était une fois, à l'ombre du pays enchanté de Rézain, une petit village en bordure d'un petit lac où on pouvait y trouver des petits poissons rouges qui aimaient bien manger des petits morceaux de (euh... ça mange quoi un poisson rouge, ah oui je sais) BÉTON. Et dans ce petit village en bordure d'un petit lac où (blablabla....poisson rouge ... BÉTON) vivait un petit lutin facétieux nommé Zou. Zou aimait lancer des pamplemousses aux vielles dames et des vielles dames aux pamplemousses. C'était un sacré farceur ce petit Zou. Ah le petit coquinou ! Petit cachotier de Zou ! Quel facétieux ! (Description virile, on l'imagine tout de suite à l'image d'un rambo...)

Un jour, Zou décida de partir à la recherche de la plus grosse citrouille possible, afin de s'y creuser une maison. Et oui, tout le monde sait ça, les lutins creusent leur maisons dans des citrouilles (sauf ceux qui ne sont pas mures lors de la saison des creusage, parce qu'à toute fin pratique elles deviennent toujours hantée). Il prit son caniche en béton et son manuel d'instruction sur les 10 meilleures façons de jeter un manuel d'instruction inutile aux poubelles, et parti à l'aventure. (Avis aux lecteurs, il est conseillé de chanter ici une chanson scout pour se mettre dans l'ambiance, de préférence à haute voix.)

Il fit trois pas, deux caramboles, 6 pirouettes (le lecteur peut également faire des pirouettes pour se mettre dans l'ambiance), et se retrouva soudainement aux frontières du pays inconnu de Maradjouipatouitidlidididadlididou, aussi renommé Didlidou par les vils paresseux qui ne voulait pas l'écrire au complet. Et tout à coup ... POUF ! Un silence à la fois étrange, anormal et inquiétant inquiéta Zou par son étrangeté et son caractère anormal. Ai-je dis qu'il flânait dans l'air quelque ambiance étrange et anormal. (Le lecteur, ici, pourra s'inquiéter pour se mettre dans l'ambiance. Si vous ne savez pas comment être inquiet, pensez qu'on pourrait savoir que vous lisez le blog de rêveur...)

Puis soudain...

- Mais... té koé toué ? fit une voix caverneuse résonnant par delà les montagnes.

- Euh... je suis ZOU... de Rézain... fit Zou, un peu intimidé.

Silence. Puis la voix caverneuse explosa de rire.

- Pouahahaha, tu t'appelle Jus de raisins, quel nom ridicule. Pourquoi pas verre d'eau ?

Zou, furieux qu'on se moque de lui, décida de se fâcher, ce qu'il fit.

- Je suis fâché.

- Ouhouhou, ce que j'ai peur, fit la voix caverneuse.

- Espèce, espèce, de voix naniche (ouananiche*)

- Ah ça, je le prends pas. Espèce de vil lutin à deux cents, je vais te tirer les oreilles.

Et tout à coup, quelque chose apparut devant Zou.



* Ici la photo d'une charmante ouananiche.

Tenir une fiole, c'est cool

Hier soir, je marchais dans la rue en bottant des caniches, lorsqu'une pensée me vint en tête.

" Babou Babou mou mou gabadou hou !!! * "

Ce genre de pensée, je l'ai souvent. C'est comme s'interroger sur les sentiments des crayons à mine ou des épis de blé d'inde. En passant, saviez-vous que la déesse mère des hourrites s'appelle Koubaba. On en apprend des choses sur ce blog n'est ce pas ?

Mais je m'égare, revenons au sujet principal. Avez-vous déjà remarqué que chaque fois qu'une université veut faire une publicité ou avoir l'air "cool", elle prend la photo d'un étudiant qui tient une fiole devant ses yeux avec un air captivé ?

Et bien, une recherche effectuée par le firme "sexy brouette" nous renseigne que dans 60% des camps, le liquide en question est du jus d'eucalyptus ! Je ne sais pas vous, mais je trouves ça un peu exagéré d'essayer de nous faire croire qu'il y a tant de recherche qui se font sur l'eucalyptus. Et en plus, Voici un témoignage

Bonjour, je m'appelle Couineux et j'aime beaucoup faire de la chimie. Lorsque la prestigieuse Université du Miskatonic m'a demandé de faire de la publicité pour eux, j'ignorais dans quoi je m'embarquais. Et bien croyez le ou non, il m'ont laissé deux choix: poser nus dans une palourde ou tenir une fiole bizarre devant mes yeux en ayant l'air intéressé. Un peu timide, j'ai choisi le second choix. Mais si j'avais su que le liquide en question était du jus d'eucalyptus, je me serais enfui en leur lançant mes bas aux visages. Ou j'aurais mangé mes bas, puis je me serais enfui. Comme ça je n'aurais pas eu à aller au restaurant ensuite, ce qui m'a coûté 13 dollars.

Comme membre d'une société, nous devrions exiger de connaître le contenu de toutes ces fioles publicitaires. Il en va de la sécurité de nos enfants !!!

* Pourquoi les cochons d'inde n'ont pas d'elle, en langue papoue.